Bovins de boucherie Les sorties suffisent à couvrir la demande
La consommation est souvent atone à cette période de l’année. Les mauvaises conditions climatiques engendrent des disponibilités largement suffisantes face aux besoins des industriels.
Vous devez vous inscrire pour consulter librement tous les articles.
Le commerce des réformes allaitantes de choix secondaire est calme, avec des tarifs justes maintenus. À Cholet, où les animaux pèsent souvent plus de 400 kg, les charolaises de conformation R se vendent entre 3,45 et 3,66 €/kg, avec une moyenne à 3,58 €/kg. Sur les marchés où les poids sont plus légers, la moyenne affiche 3,50 €/kg. Les jeunes animaux R+ ou U– voient leurs cours se stabiliser entre 3,66 et 3,96 €/kg de carcasse.
Du côté des réformes laitières et des allaitantes d’entrée de gamme, le commerce est calme, mais les cours ne se tassent pas. Les bonnes prim’holsteins P+ ou O– se négocient de 2,48 à 2,56 €/kg suivant les régions. Les cours des vaches P varient énormément selon le poids et la finition de l’animal. Ils affichent de 2,20 à 2,44 €/kg pour les femelles de plus de 260 kg. Les prix des normandes et des montbéliardes O= ou + fluctuent entre 3,00 et 3,10 €/kg.
En jeunes bovins, le commerce profite du recul de l’offre. Sur le marché de Cholet, les tarifs se situent autour de 3,78 €/kg pour les charolais U=, et de 3,58 €/kg pour les R=. Les blonds d’Aquitaine de moins d’un an se placent à des cours en légère progression. Les U trouvent preneur entre 3,81 et 4,12 €/kg, et les meilleurs montent jusqu’à 4,55 €/kg.
[summary id = "10041"]
Pour accéder à l'ensembles nos offres :