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Bovins de boucherie Des opérateurs sur le qui-vive

Pour l’heure, l’activité commerciale est peu impactée par les restrictions du gouvernement pour lutter contre l’épidémie du coronavirus. Tous les opérateurs restent néanmoins sur le qui-vive. Sur les marchés, la tendance positive observée ces dernières semaines est sensiblement freinée et les tarifs se stabilisent.

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La tendance commerciale est au maintien des prix parmi les femelles de qualité bouchère. Sur le marché de Cholet, les tarifs pratiqués en blondes d’Aquitaine U de plus de 500 kg sont compris entre 4,60 et 4,90 €. Dans la marchandise commune ou plus légère, le placement des blondes reste difficile.

 

Les tarifs sont stables dans les limousines U, qui se sont négociées entre 4,12 et 4,50 €. La stabilité est également de mise pour les charolaises U. Ces dernières se sont vendues entre 3,80 et 4,00 €. Quant aux charolaises R de moins de 10 ans, elles se valorisent facilement. La gamme tarifaire oscille entre 3,60 et 3,75 €, avec une moyenne à 3,67 €.

 

La marchandise d’entrée de gamme destinée à la transformation se vend sans difficulté. Malgré la réduction de l’activité de nombreux abattoirs, les volumes peinent à couvrir la demande. La tendance reste légèrement positive dans les prim’holsteins P+/O– lourdes, qui se négocient entre 2,60 et 2,70 €. Les vaches de conformation P=3 ont des prix allant de 2,45 à 2,58 € suivant le poids ou les abattoirs.

 

En jeunes bovins, le commerce est calme, en lien avec un marché intérieur peu dynamique et toujours compliqué à l’exportation.

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