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Bovins de boucherie La modestie de l’offre facilite les flux

Les abattoirs restent suffisamment approvisionnés en direct alors que l’offre se montre de plus en plus modeste sur les marchés. L’activité commerciale est assez régulière, dans une tendance de maintien des prix.

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Sur le marché de Cholet, le commerce reste fluide. Les tarifs des bonnes femelles parthenaises, blondes d’Aquitaine, limousines ou charolaises se maintiennent. Les vaches charolaises de milieu de gamme (R+ à U–) se négocient entre 3,70 et 3,80 € tandis que les vaches R= se vendent dans une fourchette de prix allant de 3,55 à 3,70 € en fonction de l’âge, du poids, mais aussi de la race. Les animaux croisés sont moins prisés que les charolaises ou les rouges des prés.

 

Dans les bonnes femelles blondes d’Aquitaine, l’activité commerciale se montre très calme, avec quelques retards d’enlèvement dus au recul de la demande. Aucun changement n’est constaté en limousines.

 

Dans les laitières, la tendance est au maintien des cours en lien avec des disponibilités mesurées, mais suffisantes pour les industriels. Dans les bonnes prim’holsteins, les tarifs frôlent les 2,60 €/kg carcasse dans le sud du pays, tandis qu’elles se vendent autour de 2,55 € dans l’ouest et le nord. Dans la catégorie P= de plus de 260 kg, la valorisation moyenne oscille entre 2,35 et 2,45 € en fonction des abattoirs. Les vaches normandes et montbéliardes suivent cette tendance où les sujets O se négocient entre 3,00 et 3,10 €.

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