Bovins de boucherie Légère amélioration en vaches laitières
En réformes laitières, l’équilibre entre l’offre et la demande du début de cette année permet un commerce assez régulier. De légères plus-values ont été accordées pour ceux ayant approvisionné les abattoirs pendant les fêtes. Les industriels auront des besoins mesurés pour la semaine prochaine mais les disponibilités sont annoncées en repli, ce qui devrait permettre une certaine résistance de la part des vendeurs.
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Les vaches prim’holstein P+/O– lourdes se négocient entre 2,50 et 2,60 €, en prix rendu abattoir selon les entreprises et les sujets P= se situent entre 2,35 et 2,50 € en fonction de leur poids. Les bonnes normandes et montbéliardes O=/O+ sont commercialisées de 3,10 à 3,15 € tandis que les vaches O= se vendent autour de 3,05 €.
Dans les femelles de qualité bouchère, les tarifs sont stables mais l’ambiance commerciale est plus lourde du fait d’un recul des ventes de viande après les fêtes.
Dans les allaitantes de choix secondaire, le commerce est très calme au début de cette année. L’offre reste suffisante pour la faiblesse de la demande. La gamme tarifaire n’affiche pas de grands changements par rapport à la fin de l’année 2019. Les vaches R de 350 à 400 kg de moins de 10 ans sont valorisées de 3,45 à 3,55 €, et les jeunes charolaises lourdes ont des prix compris entre 3,60 à 3,70 € dans le centre du pays. Les allaitantes moins conformées se commercialisent à bas prix pour la fabrication de minerai de race à viande.
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