Bovin de boucherie Une demande toujours insuffisante
L’activité commerciale reste morose. Les industriels sont suffisamment approvisionnés sur les réformes laitières. Les ventes dans le secteur de l’aval se montrent peu soutenues avec un manque de volume commercialisé et de valorisation des parties « arrière ».
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La baisse des prix tend à se ralentir sur les vaches prim’holsteins. Ces dernières se négocient entre 2,55 à 2,60 € en fonction des abattoirs. La majorité des laitières P= de plus de 260 kg de carcasse se vend entre 2,35 et 2,45 €. Les vaches P– légères se situent entre 1,50 et 1,80 € en fonction du poids.
Parmi les races allaitantes, les transactions sont calmes. La tendance est lourde sur le marché de Cholet même si les tarifs pratiqués sont sensiblement reconduits. Les bonnes vaches charolaises U– à U= se vendent entre 3,65 à 3,85 € et les allaitantes R se valorisent entre de 3,45 à 3,60 €.
Dans le jeune bovin, l’équilibre entre l’offre et la demande est plus favorable, mais la détente est très lente. Les charolais U se négocient entre 3,80 et 3,85 €.
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