Bovins de boucherie Stabilité en races à viande
Sur les marchés, l’équilibre entre l’offre et la demande reste de mise. Les tarifs se maintiennent pour les viandes de haut de gamme. Ceux des sujets ordinaires sont davantage discutés. Le commerce des réformes laitières est difficile.
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Cette semaine, la tendance est à la stabilité des prix des animaux de races à viande, de nombreuses structures commerciales d’approvisionnement (négociants, coops, groupements…) étant en congé ou en activité réduite. Néanmoins, le commerce est un peu plus régulier, avec quelques besoins pour le réapprovisionnement des boucheries des grandes villes dans la perspective de la fin des vacances.
Sur les marchés, l’équilibre entre l’offre et la demande reste de mise. Les tarifs se maintiennent pour les viandes de haut de gamme et les blondes d’Aquitaine lourdes valorisées de 4,80 à 5,10 €/kg sur le marché de Cholet. En revanche, les tarifs des blondes ordinaires (R) restent discutés. Ils sont compris entre 3,50 et 4,15 €/kg.
Les prix des charolaises se maintiennent, avec des besoins pour les promotions en cours chez Carrefour. Les transactions sont très hétérogènes pour les génisses et vaches de conformation R. Les tarifs des animaux viandés restent stables autour de 3,50 €/kg. Ceux dans le bas de la gamme (O) sont sous pression, avec de nombreux animaux en manque de finition. Ils sont compris entre 2,90 et 3,20 €/kg.
L’équilibre entre l’offre et la demande de réformes laitières reste en défaveur des éleveurs. Les tarifs des prim’holsteins se tassent de 0,03 €/kg, avec des P+ à 2,60 €/kg.
Les transactions sont de plus en plus difficiles dans les vaches maigres (P2 et P1) avec des prix compris entre 2,00 et 2,20 €/kg pour les P2, et entre 1,50 € et 1,90 €/kg pour les P1 en fonction du poids.
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