Génétique bovine
Les championnes et champions allaitants de Paris
10/03/2023 1 min de lecture
Le champion mâle salers, originaire de Corrèze, a tapé dans l’œil du jury dès son entrée sur le ring. Pacific se déplace très bien malgré son poids grâce à de bons aplombs. Il dispose également d’un bon bassin et se démarque par sa rectitude.
Le concours général des animaux de Paris a élu ses champions de 2023. Les ambassadeurs bovins de neuf races allaitantes ont foulé les rings du Salon de l’agriculture dans l’espoir de décrocher la couronne.
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- Le champion mâle salers, originaire de Corrèze, a tapé dans l’œil du jury dès son entrée sur le ring. Pacific se déplace très bien malgré son poids grâce à de bons aplombs. Il dispose également d’un bon bassin et se démarque par sa rectitude. © Jrme Chabanne - Large mais profond, le champion aubrac s’est également fait remarquer pour sa rectitude et sa démarche fluide. Nestor est originaire de Lozère. © Jerome CHABANNE - Hermine, élevée en Lozère, est la championne femelle pour la race aubrac. Cette longue et élégante vache se déplace très bien avec une belle qualité d'aplombs dans ses jarrets et ses jointures. © Jerome Chabanne - La grande championne blanc bleu nous vient du Maine-et-Loire. Mélodie combine le type, la finesse, le développement et une très belle avant-main. Son veau montre déjà de grandes qualités viandeuses. © Julie Crenn - Ourasi, taureau de race blonde d'Aquitaine issu des Landes, remporte le championnat mâle pour sa race. Un animal modèle, qui se bonifie au fil des années. Il associe un bon bassin et un beau développement musculaire au niveau des rebondis ou de la culotte avec une queue noyée. © Jerome CHABANNE - Egalement détentrice du prix de synthèse viande, la championne femelle blonde d'Aquitaine allie finesse et développement musculaire, notamment au niveau du globe. Sa posture ainsi que son port de tête ont également séduit le jury. Ovidie est issue d'un élevage du Tarn-et-Garonne. © Jerome Chabanne - Poète, le grand champion charolais, dégage beaucoup d’expression et de puissance. Il est doté d’un large dos où l’on retrouve tous les bons morceaux de la race. Sa jolie couleur de robe, son bassin ainsi que son carré arrière ont su séduire le jury. Poète est élevé dans le Cher. © Jerome Chabanne - Praline, originaire de la Nièvre, est une vache très puissante avec beaucoup de longueur de corps. Le jury a apprécié son élégance, avec une tête bien dessinée et de belles cornes. La championne charolaise a une belle démarche, avec un très bon bassin et de bons aplombs. © Jerome CHABANNE - Le championnat mâle Gasconne revient à Passy, un taureau venant des Hautes-Pyrénées. Disponible en insémination artificielle, il répond aux qualités de race avec une profondeur de poitrine impressionnante. © Amelie Menvielle/Groupe Gasconne des Pyrnes - L'ariégeoise Gazette est la championne femelle Gasconne des Pyrénées. Après douze années et huit veaux, elle est l'incarnation de la rusticité. Sa tête parfaite, sa longueur et son large bassin avaient également séduit le jury du Sommet de l'élevage. © Amelie Menvielle/Groupe Gasconne des Pyrénées - Le champion limousin vient de la Creuse. Onyx est un taureau complet, très lourd avec un beau travers profond et un quartier arrière remarquable. © Jerome CHABANNE - Mafia, de la Haute-Vienne, décroche le championnat femelle pour la race limousine. Elle illustre le compromis Limousin, avec de grosses masses musculaires dans son quartier arrière, et une grande proportion de quartiers nobles sur son dessus. Elle présente de la finesse, de l’allure ainsi qu’une très jolie suite. © Jerome Chabanne - Popeye, le champion sarthois de la race parthenaise, présente de la longueur, de l'épaisseur dans son dessus et une belle rectitude. Le tout monté sur un squelette très fort. © Jerome CHABANNE - Prince est promu roi de la race rouge des près. Venu de Sarthe, le taureau est presque identique à Œillet, le champion 2022 et rappel de championnat 2023. © Cdric Faimali/GFA - La championne rouge des près est élevée dans le Maine-et-Loire. Merveille n'est pas la vache la mieux préparée de sa catégorie, mais elle impressionne par son très bon bassin, son attache de queue, sa ligne de dos extraordinaire et son allure élancée. Sa bonne locomotion est gage de longévité. © CEDRIC FAIMALI / GFA - Mylène prend la première place du championnat femelle salers. Descendue de la Manche pour l'occasion, cette vache a de la longueur, de la rectitude, une belle profondeur et un très joli port de tête. © Jerome CHABANNE Previous Next
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