Optimiser ses rendements grâce à la Tech Comment optimiser ses rendements grâce à la Tech ?
Hygrométrie, stockage de l’eau, gestion optimisée des ressources, etc. les techniques agricoles ne cessent d’évoluer à mesure que les innovations technologiques se multiplient. Dans le vocabulaire, on voit apparaître des termes comme permaculture, culture hydroponique, ferme urbaine, culture hors sol, système de récupération d’eau de pluie pour l’arrosage des plantes et bien d’autres. D’où l’intérêt de s’interroger sur la manière d’optimiser ses rendements grâce à la Tech ? Vous trouverez la réponse à cette question dans la suite de cet article.
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Optimisez vos rendements en faisant recours à l’hygrométrie
L’hygrométrie est une science dont l’objet consiste à déterminer la quantité d’humidité présente dans l’air. Au lieu d’hygrométrie, il faut plutôt parler de degré d’hygrométrie en l’occurrence. L’instrument utilisé pour mesurer le degré d’hygrométrie dans un espace donné est l’hygromètre ou le psychromètre.
Les météorologues considèrent l’hygrométrie comme la quantité de vapeur d’eau qui se trouve dans l’atmosphère environnante. C’est ce mesurage qui permet de déterminer la quantité d’humidité.
Le calcul du degré d’hygrométrie implique une comparaison entre la quantité de vapeur d’eau présente dans l’air et la quantité maximale qu’il est possible de trouver dans la zone d’étude. L’unité d’expression de ce rapport est le pourcentage. Si le taux correspond à 100%, cela signifie qu’il y a une grande quantité de vapeur d’eau dans l’air ambiant. Ce faisant, des nuages peuvent se former ainsi que du brouillard et de la pluie. Mais si ce taux est de 0%, cela traduit une absence totale de vapeur d’eau dans l’air. Traduction, l’air est totalement sec dans cette région.
C’est une situation d’une extrême rareté que l’on n’observe presque jamais, même en zone désertique. L’intérêt de mesurer le degré d’hygrométrie apparaît dans diverses activités à l’instar de l’agriculture. En effet, ce mesurage vous permet de déterminer le type de culture adapté à une parcelle, en fonction des besoins en eau des plantes que vous voulez faire pousser.
La permaculture, une option de production orientée vers un développement durable
La permaculture est une agriculture plus respectueuse de la nature. Elle vise le développement de systèmes agricoles dont le point commun est la diversité naturelle, la résilience et la diversité des cultures. Objectif, produire un environnement durable, productif, résilient et harmonieux afin d’optimiser ses rendements.
Ainsi, la permaculture s’inscrit dans l’optique d’un développement durable à travers la mise en place de systèmes qui associent l’éthique aux méthodes globales. Dans un tel projet, l’activité de l’homme doit s’exercer en symbiose et en harmonie avec les écosystèmes naturels. La base de la permaculture est l’observation de la manière dont fonctionnent les écosystèmes, que ce soit sur le plan de l’efficacité ou de la productivité.
Sur le plan éthique, la permaculture comporte trois principales exigences. La première porte sur la préservation de l’environnement et de la biodiversité. Quant à la seconde, elle concerne la construction d’une communauté dont le but est de promouvoir le bien-être collectif. Enfin, la troisième a trait au partage des ressources suivi d’une répartition équitable de celles-ci. Concernant la méthode proprement dite, elle suppose une analyse des interactions qui existent entre divers éléments d’un même système.
L’analyse des écosystèmes naturels est également une nécessité. Elle permet de corriger les erreurs commises par l’homme au moment où il a implanté son activité. Parmi les effets attendus à court et à moyen terme, il y a la planification de l’intégration de cette activité afin de la rendre complémentaire. Pour ce faire, vous devez appliquer aux systèmes déficients, des solutions issues de méthodes qui ont déjà fait leurs preuves.
La culture hydroponique, un grand bond vers le futur
De plus en plus, on observe le développement des fermes urbaines dans les villes françaises. Il s’agit pour la plupart d’installations où se pratiquent les cultures hors sol. L’hydroponie fait appel à l’usage de solutions nutritives pour faire pousser des plantes dans un local fermé. Certes, cette technique est très gourmande en eau, mais elle garantit une optimisation des rendements. Il faut pourtant bien peu de choses pour réussir une culture hydroponique.
Qu’il s’agisse d’engrais, de sels minéraux ou de nutriments, les substances permettant de nourrir la plante sont diluées dans l’eau. Par ailleurs, la rapidité est ce qui caractérise la croissance des plantes en culture hydroponique. La raison ? Une rapide assimilation des substances nutritives présentes dans l’eau. Parmi les modes de cultures hydroponiques les plus connues, il y a l’enfouissement de la plante dans un pot à réserve d’eau.
Préalablement, vous devez remplir le pot de billes d’argile. La conception de ces pots répond spécifiquement aux besoins de la culture hydroponique. C’est pourquoi ils affichent clairement le niveau de substances nutritives qui s’y trouvent. Évitez cependant de noyer complètement les racines de la plante au risque qu’elle ne pourrisse. Pour ce faire, pensez à aménager un espace de deux centimètres entre le niveau de l’eau et la motte de la plante.
La deuxième façon de faire pousser des plantes en hydroponie est aussi la plus onéreuse. Ici, l’achat d’un kit est nécessaire pour y placer des plantes en godet. Le brassage de la solution nutritive se fait à l’aide de petites pompes. Résultat attendu, une amélioration de l’assimilation des nutriments. En raison de leur facile adaptation, la laitue, le basilic ou la fougère de Boston sont les plantes à privilégier dans une culture hydroponique.
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