Peste porcine africaine Vers une « réflexion collective » de prévention
Selon la FDSEA du Finistère, « l’organisation et la réactivité du département seront déterminantes en cas de contamination ».
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Prévenir la peste porcine africaine à défaut de pouvoir la guérir, c’est la volonté de la FDSEA du Finistère, qui revendique « la nécessité d’initier dès maintenant une réflexion collective », dans un communiqué publié ce mercredi 26 septembre 2018.
Lors d’une rencontre avec la direction départementale de la protection des populations (DDPP), le 18 septembre, le syndicat a formulé deux demandes :
- L’anticipation de déclaration dès la détention d’au moins un porc ou sanglier (en vigueur au premier novembre 2018), afin que « tous les foyers probables de la maladie soient rapidement connus ».
- La mise en place d’un protocole de confinement des élevages en plein air, ainsi que d’un protocole d’abattage en cas de contamination.
Chasseurs impliqués
La FDSEA du Finistère a également rencontré la fédération des chasseurs du département, le 21 septembre. Cette dernière a présenté son « plan de maîtrise de la population de sangliers ». Le syndicat leur a également fourni un courrier de prévention contre la PPA, soulignant « la nécessité d’une coordination totale entre les sociétés de chasse et les agriculteurs ».
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