Aricle Noremat Du service après-vente à la construction
Le spécialiste des matériels d’accotement est au plus proche deses clientspour assurerle meilleur suivi deses machines.
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Noremat : derrière cet acronyme figure la « nouvelle rentabilité du matériel ». Créée en 1981 par Jacques Bachmann, la société était, à l’origine, spécialisée dans le service après-vente des matériels d’accotement routier. Au fil du temps et des retours des clients, elle a décidé de créer ses propres machines pour répondre davantage aux demandes du terrain.
Basée à Ludres, en Meurthe-et-Moselle, elle n’a pas oublié son cœur de métier. Contrairement à ses concurrents, qui distribuent leurs produits via des concessionnaires, l’entreprise vend en direct. Elle dispose de commerciaux et de techniciens sur le terrain, dans toute la France. Neuf agences, telles des succursales, sont réparties dans l’Hexagone pour assurer le suivi et l’entretien du parc de matériels. La gamme est tournée vers les professionnels de l’entretien avec des machines haut de gamme. La clientèle est composée de conseils départementaux, communes et prestataires privés. « Bien souvent, les équipements ne peuvent pas attendre 24 ou 48 heures pour être réparés », souligne Guillaume Laurent, directeur marketing.
Au début des années 2010, Noremat va plus loin en développant un automoteur totalement pensé pour les travaux d’entretien d’accotement : le VSV (véhicule service viabilité). Cette machine polyvalente a surtout été conçue pour apporter le plus d’ergonomie possible à l’utilisateur.« Travailler au bord des routes est un métier stressant. Nous essayons de diminuer au maximum cette tension avec nos matériels », confie Guillaume Laurent.Également soucieuse de valoriser le métier, la société a posé un nom sur le travail de ses clients : accoroutiste, une contraction d’accotement et de routier.
Assemblage en interne
« Notre premier marché, c’est de loin la France. Les spécificités des routes sont très différentes entre chaque pays, même frontaliers », souligne Guillaume Laurent. Quinze pour cent du chiffre d’affaires est réalisé à l’export, Noremat étant présent dans une quarantaine de pays. Pour sa production, la firme lorraine a préféré sous-traiter la partie relative à la mécano-soudure et à la peinture à des entreprises possédant ce savoir-faire. Pour autant, la conception et le développement des produits sont réalisés en interne, comme le montage des machines. Ces dernières sont ensuite passées sur un banc d’essai pour une première mise en route et un contrôle des différentes fonctions. Une grande partie du VSV est également sous-traitée. Au sein de Noremat, il reçoit carénage et équipements selon ses futures applications.
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