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Ligne Paris-Normandie 15 ha de terre ou 1 km en train, il faut choisir !

La FDSEA et JA Île-de-France poursuivent leur mobilisation « préventive ». Ils veulent l’abandon du projet de ligne nouvelle Paris-Normandie (LNPN) à l’horizon de 2030, qui impacterait 250 exploitations et « mangerait » 10 à 15 ha de terres agricoles par kilomètre de nouvelle voie. « Faut-il « zader » pour être entendus ? », s’indignent-ils.

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A l’exemple de la reculade du gouvernement sur le projet Notre-Dame-des-Landes, « la profession agricole doit-elle « zader » pour être enfin entendue ? » sur le projet de ligne nouvelle Paris-Normandie (LNPN), s’agacent la FDSEA et JA Île-de-France dans un communiqué du 24 janvier 2018.

 

Les deux organisations demandent « au gouvernement d’abandonner définitivement ce projet qui met à mal toute une partie du territoire francilien, déjà très fortement sous pression urbaine ».

 

Le syndicat s’était déjà mobilisé en juillet 2017 à Magnanville, inquiet de l’impact négatif du projet sur 250 exploitations, ainsi que « la perte de terres agricoles (10 à 15 hectares de terres sacrifiées par kilomètre de voie ferrée) ». Le tout pour un coût estimé de 7,7 milliards d’euros et « un gain de temps de l’ordre de 10 à 15 minutes sur le trajet Paris-Evreux ».

 

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