Broutards Le marché reste actif
La dynamique commerciale est assurée par une bonne tenue des prix des jeunes bovins et soutenue par une offre saisonnière limitée. Les exportateurs peinent à satisfaire les besoins de leurs clients. La demande pour la repousse est également plus ferme avant la saison d’herbage. Les mises en place sur le marché intérieur se confrontent également à la faiblesse des disponibilités.
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Le commerce est fluide sur l’ensemble des marchés, quelle que soit la race demandée. Les écarts de valorisation entre les animaux vaccinés et les non-vaccinés se sont estompés dans la bonne marchandise.
Les tarifs sont fermes. Les charolais de 350 à 400 kg sont valorisés entre de 2,90 et 3,07 €/kg vif à Moulins-Engilbert. Les sujets de 350 à 450 kg s’échangent à 2,93 €/kg, soit 0,60 € de plus que l’an passé à la même époque. Dans les charolais de plus de 450 kg, la demande algérienne est soutenue avec des tarifs affichés autour de 2,85 €/kg.
En blonds d’Aquitaine, l’offre est en repli. Les prix sont reconduits à Agen ou Cholet où les sujets de 300 à 350 kg se négocient autour de 3,45 €/kg.
En femelles, le commerce reste favorisé par la modestie de l’offre et par une demande qui ne faiblit pas. La vente est fluide avec des cours fermes pour les lactones charolaises ou limousines de 300 à 350 kg indemnes d’IBR. Elles sont recherchées pour la production de génisses rajeunies sur la France ou exportées sur l’Italie quand elles sont vaccinées. Ces femelles U se négocient autour de 2,80 € pour les charolaises et de 2,90 € pour les limousines.
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