Broutards Les cours restent inchangés
Sur les marchés et les cadrans, la présentation est plus étoffée. Le redémarrage de l’activité se fait sur les mêmes bases qu’à la fin de 2020.Les engraisseurs français n’ont plus de retards d’enlèvement mais ne se pressent pas à remplir les ateliers face au manque de visibilité. À l’exportation, les opérateurs italiens restent tout aussi prudents dans leurs achats. La demande espagnole est, quant à elle, mesurée et rapidement couverte pour cette semaine de reprise.
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L’animation commerciale est un peu moins soutenue que la semaine passée. La grande majorité des animaux trouvent preneurs mais pour des tarifs qui ne progressent pas. Sur certains cadrans, les cours sont même ajustés à la baisse. Les bons mâles charolais de 350-400 kg se valorisent autour de 2,50 €. Ceux de 400-450 kg se vendent entre 2,35 et 2,40 €.
La demande pour les bons mâles légers de repousse est peu dynamique au regard des coûts de production.
Le commerce ne montre pas de signe positif dans les limousins, mis à part dans les sujets de qualité supérieure. À Ussel, les mâles de 350-400 kg se valorisent à 2,83 € de moyenne.
En femelles, le commerce reste assez régulier. Les tarifs se maintiennent à des niveaux convenables, entre 2,60 et 2,70 € dans les bonnes laitonnes de 300-350 kg.
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