Céréales Après un rebond hier, les cours baissent à l’ouverture

Lundi 18 juillet 2022 sur Euronext, la tonne de blé a clôturé à 335,25 € (+9,75 euros) sur l’échéance de septembre et à 323,75 € (+7,00 €) sur l’échéance de décembre.

La tonne de maïs clôturait à 329,25 € (+6,00 €) sur l’échéance d’août et à 311,75 € (+6,25 €) sur l’échéance de novembre.

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Ce mardi 19 juillet 2022, peu avant 11 h sur Euronext, la tonne de blé perdait 2,25 € (à 333,00 €) sur l’échéance de septembre et 2,25 € (à 321,50 €) sur l’échéance de décembre.

La tonne de maïs perdait, quant à elle, de 1,75 € (à 327,50 €) sur l’échéance d’août et de 2,50 € (à 309,25 €) sur l’échéance de novembre.

Le pétrole, un facteur de soutien

« Le rebond des cours du pétrole hier a apporté un facteur de soutien aux autres matières premières après le recul observé la semaine passée. En parallèle, la parité euro/dollar s’est également appréciée en repassant au-dessus de 1,01 dans l’attente de la réunion sur les taux d’intérêt de la Banque centrale européenne, programmée ce jeudi », souligne ce matin le cabinet Agritel.

« En France, les fortes chaleurs restent un élément d’inquiétude sur les cultures en place et notamment le maïs. Les prix du maïs ont d’ailleurs progressé tant en ancienne qu’en nouvelle récolte », ajoute en effet Agritel.

« À Chicago, les céréales ont clôturé lundi en forte hausse. Un manque de précipitations et des températures supérieures aux normales poussent les prix à la hausse. Le blé, qui avait enregistré les plus grandes pertes de vendredi, se trouve être le gagnant de ce lundi avec une progression de 31 cents. Le maïs a aussi enregistré des gains, mais un peu plus modestes, de 8 cents. Tous les contrats s’affichent en baisse ce matin sur Globex (1) », informe de son côté le cabinet Sitagri.

Trouver un accord

« Sur le plan des exportations, la semaine sera également marquée par une nouvelle réunion annoncée entre l’Ukraine, la Russie, la Turquie et les représentants des Nations unies afin de trouver un accord sur la reprise de l’activité à l’exportation au départ des ports ukrainiens. Les opérateurs demeurent toujours prudents face au rythme possible de reprise de l’activité à l’exportation depuis l’Ukraine en cas d’accord trouvé rapidement », précise Agritel.

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