Broutards Lent redémarrage de l’activité
En cette semaine de reprise, les sorties restent modestes. Les conditions herbagères actuelles incitent les éleveurs à garder leurs animaux pour leur faire prendre du poids à moindres frais. À l’exportation, le commerce reprend peu à peu, avec des engraisseurs italiens toujours très prudents à l’achat. Leurs besoins sont orientés vers des broutards assez lourds et vaccinés contrez le sérotype 8 de la FCO, depuis 10 jours. L’Allemagne, quant à elle, se tourne vers des animaux de 300-400 kg vaccinés contre les sérotypes 8 et 4, depuis 60 jours.
Vous devez vous inscrire pour consulter librement tous les articles.
À Moulins-Engilbert et Saint-Christophe-en-Brionnais, les tarifs des mâles charolais U de 350-450 kg s’établissent entre 2,40 et 2,50 €/kg vif. Sur l’Hexagone, les mises en place sont ralenties malgré des tarifs plus fermes dans les jeunes bovins et une belle récolte de maïs en vue. Les apports sont encore limités sur les marchés. À Cholet ou à Châteaubriant, les cours des charolais de 250-300 kg se maintiennent entre 800 et 870 €.
En femelles, les sorties sont modérées. Les tarifs se tiennent dans la bonne marchandise lourde à destination de l’Italie. Le commerce vers l’Espagne reprend peu à peu avec des sorties limitées, après une semaine d’interruption.
[summary id = "10047"]
Pour accéder à l'ensembles nos offres :