Broutards Demande plus régulière
Sur les marchés et les cadrans, l’offre saisonnière reste limitée, permettant un écoulement assez régulier. La demande italienne reste peu active mais des besoins émanant de l’Algérie permettent une meilleure tenue des cours. Les broutards de plus de 450 kg, écartés de ce marché export, ne bénéficient pas de cette tendance. Du côté des animaux de moins de 400 kg, la situation est également plus favorable, avec la préparation d’un bateau vers Israël.
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À Moulins-Engilbert, les mâles charolais U de 350-400 kg se vendent de 2,44 à 2,60 €/kg vif. Sur le marché d’Ussel, les limousins de 350-400 kg se négocient entre 2,60 à 2,80 €/kg vif.
Sur l’Ouest, l’activité montre également quelques signes positifs sur Châteaubriant ou Cholet. Les charolais U de 300-350 kg se valorisent entre 800 et 880 € la pièce. Ceux de 250-300 kg partent entre 700 et 800 €. La marchandise de second choix R reste globalement valorisée entre 600 et 700 €. Les animaux de qualité moindre se vendent entre 450 et 550 €.
Dans les blonds d’Aquitaine, le marché est à l’équilibre. Les engraisseurs sont très préoccupés par l’accroissement du prix des céréales.
En femelles, la demande italienne se montre ferme. Les tarifs des laitonnes lourdes et vaccinées sont soutenus. Ces dernières se valorisent entre 2,70 et 2,75 €/kg vif, dans les charolaises U de 300-350 kg, et de 2,80 à 2,85 €, dans les limousines.
Dans la marchandise de choix secondaire, les flux majoritairement à destination de l’Espagne restent calmes.
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