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Tuberculose bovine Limiter les facteurs de risques en élevage

© Cédric Faimali/GFA

Alors que les zones d’enzootie persistent dans l’Hexagone, le ministère de l’Agriculture détaille dans une note publiée le 3 octobre 2018 les mesures de biosécurité afin de limiter les facteurs de risque de contamination en élevage bovin.

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La France est officiellement indemne de tuberculose en élevage bovin depuis 2001. Néanmoins, des zones d’enzootie persistent, notamment en Côte-d’Or, en Corse et en Nouvelle-Aquitaine.

Dans une note publiée le 3 octobre 2018, le ministère de l’Agriculture rappelle que la mycobactérie (bactérie responsable de la tuberculose, NDLR) peut « se retrouver dans les urines, les fèces et la salive des animaux infectés, y compris des bovins. Elle peut persister également plus de 5 mois sur les pâtures contaminées, et particulièrement quand la température est faible, et en présence de matière organique et d’humidité. »

Facteurs de risque

Les principaux facteurs de risque identifiés au cours des études épidémiologiques françaises et internationales sont les suivants :

Gare aux effluents

Par ailleurs, le ministère précise également que « le risque de contamination de l’environnement par les effluents d’élevage potentiellement contaminés n’est pas à négliger. Un épandage mal maîtrisé pourrait contribuer au maintien de mycobactéries dans l’environnement en particulier sur les pâtures ».

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