Bovins de boucheire Commerce très actif

Sur les marchés, la modestie de l’offre facilite la vente. Les tarifs sont stables et ne tiennent pas compte de la hausse des coûts d’engraissement des bonnes femelles parthenaises ou blondes d’Aquitaine. Les tensions s’amoindrissent en limousines alors que la hausse des prix reste marquée pour les charolaises. Les abattoirs doivent honorer leurs contrats, ce qui active les ventes d’allaitantes de second choix ou d’entrée de gamme.

En réformes laitières, les tarifs ont dépassé la barre symbolique des 4 € pour les bonnes normandes ou montbéliardes. Les taureaux de réformes sont également recherchés.

En jeunes bovins, la demande est ferme. Les tarifs progressent dans l’ensemble des animaux de race allaitante. Le commerce est également actif en laitiers.