Bovins de boucherie Demande peu active

La demande peu dynamique est compensée par des volumes limités, compte tenu des travaux de printemps. Les bonnes femelles de qualité bouchère restent bien valorisées auprès de la boucherie traditionnelle. Les prix des charolaises viandées ou des allaitantes de choix secondaire se maintiennent. En réformes laitières, le recul de l’offre engendré par les ensilages d’herbe et les semis de maïs participe à un meilleur équilibre de marché. Les prix sont stables en prim’holsteins, normandes ou montbéliardes. En jeunes bovins, les expéditions vers l’Italie restent impactées par les restrictions sanitaires et celles vers l’Allemagne sont nettement moins soutenues. Sur le marché intérieur, les échanges restent calmes.