Bovins de boucherie Stabilisation des prix des laitières
Avec la réduction de l’activité des industriels au cours de la semaine dernière, le marché est plus équilibré malgré la fin des vacances scolaires.
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La tendance de la semaine est à la stabilisation des réformes laitières. Les bonnes vaches prim’holsteins P+/O– lourdes se valorisent de 2,70 à 2,75 € et les P= standards se négocient de 2,50 à 2,65 €. Les vaches normandes et montbéliardes O= se situent autour de 3,15 € et montent à 3,25 € dans les meilleures.
Dans le cheptel allaitant, avec la fin des vacances, la demande de la boucherie traditionnelle est un peu plus régulière pour les très bonnes femelles. Les bonnes blondes d’Aquitaine lourdes se valorisent de 4,60 à 5,10 € et les U plus légères se vendent de 4,00 à 4,50 €. Les abatteurs ont en revanche toujours des difficultés à écouler les pièces nobles dans les magasins. Les transactions demeurent régulières sur le marché de Cholet, mais les tarifs se sont stabilisés. Les vaches charolaises R+/U– se maintiennent autour de 3,80/3,85 €, et les R+ de plus de 400 kg oscillent entre 3,70 et 3,75 €. Les animaux plus communs O se négocient sans difficulté entre 3,20 et 3,55 €.
En jeune bovin, le commerce ne pâtit pas de la rupture des expéditions avec la Pâque orthodoxe, car la production a fortement chuté. Les tarifs se stabilisent dans les charolais avec des tarifs compris entre 3,85 et 3,90 € pour les U à Cholet. Les blonds d’Aquitaine légers et bien conformés se vendent entre 4,24 et 4,60 €.
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