À la volée ou avec précision, un coût d’ À la volée ou avec précision, un coût d’implantation de 5 à 25 €/ha
Les solutions d’implantation des couverts se multiplient. La réussite de la culture dépend de l’adéquation entre la technique de semis, les semences choisieset les conditions pédoclimatiques.
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Le choix de la méthode de semis des cultures intermédiaires est une préoccupation récente, aussi bien pour les agriculteurs que les constructeurs. Ces derniers commencent seulement à s’y intéresser. Deux grands procédés existent.
Employé aux prémices de la pratique du couvert, le semis à la volée, avec ou sans travail du sol, est plébiscité pour son coût et sa rapidité d’exécution.
Plus récemment, l’évolution technologique des distributions a favorisé l’utilisation des semoirs directs et conventionnels. Se servir de ces appareils permet de gagner en précision dans la mise en place, afin d’améliorer les chances de réussite, notamment avec des mélanges d’espèces.
Choisir du matériel approprié
Néanmoins, au sein de ces deux stratégies principales, réside une multitude de moyens de mise en œuvre. Semer avant la récolte, pendant, après ou plus tardivement sont autant de facteurs qui conduiront à la sélection du matériel approprié. Dans le cas d’un semoir conventionnel, un itinéraire technique de travail du sol peut être entrepris pour s’assurer d’avoir un bon lit de semences. Ainsi, le couvert est géré comme une culture à part entière et les coûts d’implantation flambent. De 5 €/ha pour une simple moutarde implantée avec un microgranulateur monté sur un quad, le prix du semis et du travail du sol peut dépasser 25 €/ha lorsqu’un itinéraire technique en adéquation avec les variétés est mis en place.
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