Bovins de boucherie Prix en baisse
Les volumes mis sur le marché suffisent à répondre à la demande, tandis que la décapitalisation se poursuit dans un contexte de ressources fourragères contraintes.
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Le recul des tarifs observé dans les réformes laitières s’étend aux allaitantes d’entrée de gamme et aux vaches charolaises. Les ventes se tassent dans le sud du pays où la saison touristique se termine.
La pression sur les prix se poursuit pour les vaches prim’holsteins, normandes ou montbéliardes qui ont perdu entre 0,03 et 0,05 €/kg cette semaine dans les abattoirs. Les bonnes prim’holsteins classées O se négocient entre 2,80 et 2,90 €/kg selon les régions. La majorité des vaches laitières sont de conformation P=2 ou 3 et se négocient entre 2,45 et 2,70 € en fonction du poids.
Le commerce est également plus difficile dans les races allaitantes. Toutefois, les tarifs se tiennent dans les femelles de qualité bouchère, avec des limousines classées U vendues à 4,30 €/kg environ à Cholet, ou des génisses charolaises classées U échangées à 4,35 €/kg à Saint-Christophe-en-Brionnais.
Le commerce est plus sélectif dans l’ouest du pays, avec des vaches charolaises qui se vendent autour de 3,66 €/kg sur le marché de Cholet. À Saint-Christophe-en-Brionnais, les tarifs se tiennent autour de 3,70 €/kg en raison d’une offre moindre.
Les tarifs se tassent pour les animaux de moyenne conformation, âgés ou plus légers. Les vaches classées R– et O s’échangent entre 3,35 et 3,50 €/kg, voire 3,05 à 3,20 € dans les animaux les plus maigres.
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