Bovins de boucherie Offre limitée
Alors que les livraisons des magasins et des cantines scolaires pour la rentrée sont déjà faites, la demande des industriels se montre un peu moins soutenue.
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Néanmoins, face aux chantiers d’ensilages précoces des maïs, les disponibilités sont modestes dans les campagnes. La qualité des fourrages aura aussi un impact sur la rétention des animaux dans les fermes, ou, au contraire, sur une décapitalisation.
Les tarifs des réformes laitières sont relativement stables cette semaine. Mais on observe toujours des écarts entre outils. Les bonnes prim’Holsteins P+/O– de plus de 300 kg se valorisent entre 2,85 et 2,95 €/kg (rendues abattoir), voire 3 € selon l’abattoir. Les vaches P= se négocient entre 2,45 et 2,65 € en fonction du poids et surtout de la finition. Les animaux P–1 ou 2, peu demandés, se cèdent entre 1,70 et 2,15 €.
La demande de jeunes vaches charolaises viandées se tasse, avec une tendance au plafonnement des prix. Dans la marchandise standard, l’activité commerciale est assez régulière, pour des tarifs qui se maintiennent sans difficulté pour les animaux correctement finis.
Les vaches charolaises R de moins de 10 ans et de plus de 400 kg se négocient entre 3,65 et 3,75 €. Les tarifs sont en revanche peu soutenus dans l’entrée de gamme et les vaches en manque de finition, avec des disponibilités largement suffisantes pour la demande de rentrée.
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