Bovins de boucherie Des cours stables malgré un recul de l’offre
Les disponibilités sont en net repli, du fait des travaux de fenaison et du début des moissons. Mais la faiblesse des ventes au niveau des abattoirs n’entraîne pas de mouvement positif – ou très léger – des cotations.
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La faiblesse de l’offre sur les marchés permet un commerce assez fluide, notamment pour des animaux d’entrée de gamme. Les charolaises ou les allaitantes R se négocient entre 3,50 et 3,75 €/kg net, avec une moyenne autour de 3,63 €. Les jeunes charolaises (–5 ans) lourdes R+/U– se vendent entre 3,75 et 3,85 €. Les femelles de qualité bouchère se maintiennent, mais les débouchés en cette fin de mois sont peu soutenus.
Dans les réformes laitières, les gros industriels maintiennent leurs tarifs malgré le recul de l’offre. Les prim’holsteins P+/O– se maintiennent entre 2,90 et 2,95 € sur certains outils, alors que la majorité des P= de poids convenable se négocient entre 2,65 et 2,90 € en fonction du poids et de la finition. Les normandes et les montbéliardes se maintiennent autour de 3,30-3,40 € dans les très bonnes, et entre 3,10 et 3,25 € dans les O=.
Pour les jeunes bovins, les échanges sont compliqués, avec un marché à l’exportation sans besoin particulier. Les tarifs se maintiennent difficilement entre 3,75 et 3,90 € dans les charolais U. La faiblesse de l’offre facilite le commerce dans les blonds d’Aquitaine ou parthenais de moins d’un an, qui se vendent entre 4,25 et 4,55 € dans les E, et de 4,04 et 4,20 € dans les U.
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