Bovins de boucherie Recul de la demande en races à viande
Les besoins des abatteurs ont entamé leur reflux saisonnier. Les acheteurs n’ont aucune difficulté à s’approvisionner en marchandise allaitante. Il en résulte une certaine lourdeur commerciale, avec des tarifs orientés à la baisse dans les charolaises ou les allaitantes de choix secondaire.
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Les vaches R se négocient entre 3,45 et 3,60 €, les bonnes charolaises lourdes restent peu recherchées pour le sud du pays, avec des cours compris entre 3,70 et 3,90 €/kg net.
Dans les réformes laitières, les gros industriels demandent encore des baisses, mais le recul de l’offre permet une stabilisation des cours. Les prim’holsteins P+/O– se maintiennent entre 2,90 et 2,95 € sur certains sites d’abattage, alors que la majorité des P= de poids convenable se négocient entre 2,65 et 2,90 € en fonction du poids et de la finition.
Les normandes et les montbéliardes se valorisent de 3,30 à 3,40 € dans les très bonnes. Elles se vendent entre 3,10 et 3,25 € dans les O=.
En jeunes bovins, le commerce reste compliqué, avec un manque de débouché à l’exportation. Les JB français sont concurrencés par les Espagnols. Le commerce est très compliqué dans les arrières, ce qui entraîne une tension sur les prix des charolais.
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