Bovins de boucherie Marché à l’équilibre
Le marché est globalement à l’équilibre, même s’il est plus difficile de vendre un bon animal qu’un animal plus standard.
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Les tarifs sont stables pour les femelles de qualité bouchère, avec des vaches blondes d’Aquitaine U de plus 480 kg valorisées de 4,40 à 4,80 € à Cholet, voire 5,00 € pour les meilleures. Ces tarifs sont également ceux pratiqués pour les bonnes génisses U à Saint-Christophe-en-Brionnais.
Le commerce est régulier pour les génisses et les jeunes vaches charolaises R+/U–, qui sont commercialisées autour de 3,75 € à Cholet, Sancoins et à Saint-Christophe-en-Brionnais. Cette tendance profite également aux animaux plus standards R=, qui se négocient entre 3,58 et 3,66 €.
Peu de changement observé du côté des limousines, des aubracs et des salers, mais on observe de gros écarts de valorisation entre les animaux viandés et finis et ceux en manque de poids, juste en finition ou trop âgés.
Dans les laitières, les industriels cherchent à reprendre la main en annonçant de la baisse pour la semaine prochaine. Pour le moment, la tendance reste légèrement positive. Les prim’holsteins P+/O– lourdes se vendent entre 2,90 et 2,95 €, voire 3,00 € dans certains abattoirs. Le gros des ventes se situe entre 2,75 et 2,85 € pour les vaches convenables, et entre 2,30 et 2,50 € pour celles en manque de poids et de finition.
Les normandes et montbéliardes se maintiennent entre 3,05 et 3,35 € pour les O convenables, voire 3,40 € pour les bonnes.
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