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Bovins de boucherie Tarifs stables, mais beaucoup trop bas

Les abattoirs sont suffisamment approvisionnés en direct, et ont toujours des stocks importants d’arrières et même d’avants après les reports de vente faisant suite à l’épisode neigeux de la semaine passée.

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Sur le marché de Cholet, les tarifs se maintiennent avec un commerce toujours très lent des bonnes femelles parthenaises, blondes d’Aquitaine, limousines ou charolaises.

 

Les vaches charolaises de milieu de gamme (R= à U–) se négocient de 3,55 à 3,60 €/kg, soit 0,15 €/kg de moins que l’an passé. Les prix des vaches R se stabilisent, mais ces animaux restent faiblement valorisés. La gamme tarifaire se situe entre 3,38 et 3,50 €/kg avec une moyenne proche de 3,43 €/kg.

 

La tendance est identique dans les autres régions, avec des tarifs peu soutenus dans le centre du pays où l’offre est également suffisante. Les charolaises R= se négociaient à 3,48 €/kg à la fin de la semaine à Saint-Christophe-en-Brionnais.

 

Dans les laitières, la tendance est au maintien des cours avec des disponibilités mesurées, mais suffisantes pour les industriels (avec le début des vacances). Les tarifs des bonnes prim’holsteins approchent de 2,75 €/kg dans le sud du pays. Ils stagnent autour de 2,70 €/kg dans l’Ouest et le Nord. La valorisation moyenne des P= (+260 kg) se situe entre 2,45 et 2,55 €/kg en fonction des abattoirs.

 

Les normandes et montbéliardes suivent cette tendance avec des « O » qui se négocient entre 3,05 et 3,13 €/kg.

 

En jeunes bovins, le commerce reste tendu faute d’écoulement suffisant à l’exportation.

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