Bovins de boucherie Recul de la consommation
L’animation commerciale est marquée par le recul traditionnel de la consommation sur le mois de novembre. Les industriels peinent à écouler les pièces nobles. Les animaux croisés sont pénalisés par la publicité qui met en avant les races à viande pure, avec des magasins qui ciblent ces types d’animaux.
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Les tarifs sont orientés à la baisse pour les charolaises. Les R= se négocient entre 3,45 et 3,60 € et les bonnes vaches U se vendent entre 3,70 et 4,00 €. La tendance est également lourde pour les blondes d’Aquitaine qui souffrent toujours de gros retards de sorties. Les bonnes vaches lourdes se négocient sur les marchés entre 4,35 et 4,80 €, peu arrivent à 5,00 € dans les extras.
Les abatteurs maintiennent la pression sur les réformes laitières ou mixtes, qui perdent 0,05 €. Les bonnes prim’holsteins O se négocient entre 2,80 et 2,90 €, en fonction des abattoirs. La majorité des vaches laitières sont de conformation P=2 ou 3 et se négocient entre 2,45 et 2,70 €, en fonction du poids. Les vaches en manque de finition ou de poids restent faiblement valorisées entre 1,50 et 1,95 €.
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