Bovins de boucherie La tendance reste positive
Si l’offre est un peu plus étoffée sur le grand Ouest, les autres régions restent largement déficitaires en réformes laitières.
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Les bonnes prim’holsteins P+/O– se valorisent de 2,75 à 2,80 €/kg de carcasse. Dans certains abattoirs, la valorisation atteint 2,85 €/kg de carcasse. Les P= se situent entre 2,50 et 2,65 €/kg de carcasse.
Les tarifs des normandes et montbéliardes O=/O+ vont de 3,13 à 3,28 €/kg de carcasse. Ils montent jusqu’à 3,35 €/kg de carcasse pour les R–.
L’activité commerciale est également assez régulière pour les allaitantes d’entrée de gamme, malgré des commandes peu toniques. À Cholet, le prix des charolaises R= oscille entre 3,60 et 3,80 €/kg de carcasse avec une moyenne proche de 3,74 €/kg de carcasse.
L’activité est normale et les cours stables pour les femelles de qualité bouchère. La demande est normale pour les bonnes blondes d’Aquitaine lourdes, qui se sont valorisées entre 4,40 et 5,00 €/kg de carcasse à Cholet.
L’écoulement est plus lent pour les parthenaises. Les limousines de qualité bouchère, lourdes, se vendent sans difficulté avec des U= et U+ négociées entre 4,34 et 4,57 €/kg de carcasse. Les bonnes plus légères se situent entre 4,00 et 4,30 €/kg de carcasse.
Les charolaises U se négocient de 3,85 à 4,12 €/kg de carcasse.
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