Veaux Commerce toujours sous tension
Les volumes suffisent aux besoins des intégrateurs. Le commerce est plus fluide en veau gras, mais les places disponibles dans les ateliers manquent, notamment en raison du lavage des installations et du vide sanitaire.
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Les intégrateurs contingentent leurs achats selon les places disponibles. Le commerce reste tendu. Même si les tarifs des prim’holsteins sont stables, le tri demeure sévère dans les lots. La majorité des prim’holsteins et des normands se négocie en dessous de 100 € chez les intégrateurs.
À Bourg-en-Bresse, les montbéliards peinent à se placer. Les cours des sujets standards de 50 à 65 kg restent malmenés entre 100 et 150 €. Les sujets supérieurs se placent entre 170 et 200 €. Nombre d’animaux restent dans les élevages et viendront grossir les sorties dans 18 mois.
Le marasme est important en croisés laitiers, faute de demande face à de larges disponibilités. Les tarifs des légers sont similaires à ceux des laitiers. Le commerce des bons croisés jaunes ou blanc bleu reste sous pression.
En races à viande, les tarifs restent stables pour les bons veaux charolais ou limousins. Le commerce est moins tendu, et les prix affichent entre 310 et 420 € pour les standards de plus de 70 kg à Lezay. La vente est laborieuse en veaux légers ainsi qu’en femelles croisées, avec des larges écarts entre les cours. Les tarifs restent discutés en milieu de gamme, avec de nombreux veaux convenables négociés entre 300 et 370 €.
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