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Technologie/High-tech L’Isobus à l’épreuve du terrain

Par Corinne Le Gall

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Difficile d’échapper à l’argument de vente « Isobus » lorsque l’on fait l’acquisition d’un matériel neuf. Cette norme de communication entre les machines agricoles se généralise peu à peu mais son intérêt n’est pas toujours évident pour les agriculteurs et entrepreneurs. Ceux qui se sont lancés les premiers dans l’utilisation de cette technique, parfois dès 2008, ont souvent été déçus par des problèmes de compatibilité. Pour les autres, même s’ils sont déjà équipés de machines Isobus, l’intérêt de cette solution n’est pas toujours évident car peu de concessionnaires sont capables d’en expliquer correctement le fonctionnement.

Enfin des résultats probants

La mise en place de l’AEF (Fondation pour l’électronique des machines agricoles), en 2008, a permis de mettre de l’ordre dans la norme Isobus et de tester les compatibilités entre machines. Grâce aux travaux de l’AEF, l’Isobus fonctionne désormais correctement et, à condition de s’assurer des compatibilités avant d’investir, donne satisfaction à ceux qui l’utilisent. Mais l’appréhender reste difficile car cette norme est décrite par un document de 30 cm d’épaisseur.

Comme le montre l’infographie ci-contre, le terme Isobus regroupe différentes fonctionnalités qui se présentent comme des modules dissociés. Ces fonctions travaillent séparément ou sont assemblées selon les tâches à effectuer et le niveau de sophistication d’un outil. Pour que le dispositif de communication entre le tracteur et l’outil fonctionne, les deux doivent comporter le module concerné. Pour faciliter votre travail avec l’Isobus, nous avons regroupé dans ce dossier toutes les informations nécessaires à sa compréhension et à son utilisation.

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