Pourquoi parle-t-on parfois de « poudre Pourquoi parle-t-on parfois de « poudre de perlimpinpin » ?

• Absence de réglementation spécifique aux biostimulants qui sème le trouble : « Ils sont parfois étiquetés comme engrais ou amendement, alors que les arguments de la firme diffèrent de la nutrition directe des plantes ou de la correction du pH », regrette Didier Blin, de PRP Technologies.

• Offre pléthorique et confuse.

• Manque d'essais par des organismes neutres : instituts techniques, coops et négoces, chambres d'agriculture...

• Les quantités mises en oeuvre sont souvent inférieures à celles utilisées en engrais ou en amendements de par le mode d'action des composants des biostimulants. Il y a donc perte de repère pour l'agriculteur. 

• Les indicateurs pour évaluer les performances des biostimulants sont différents de ceux utilisés pour évaluer les fongicides, herbicides, engrais... « Difficile parfois pour l'agriculteur de visualiser des critères comme l'augmentation de la biomasse microbienne, le développement de la rhizosphère, l'intensification des activités enzymatiques », précise Didier Blin.

• Conditions d'application difficiles à maîtriser.  

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