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TENDANCE Le catalogue des options prend du volume

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Cette année encore, il n'y aura pas de révolution dans le domaine du semoir monograine. Bien sûr, comme dans toutes les catégories de matériels, la tendance est à l'agrandissement avec des engins qui ressemblent à des remorques de semis.

Pour ces méga-équipements, l'objectif est de semer à 15 km/h afin d'obtenir des débits de chantiers très élevés. Souvent proposés par des constructeurs allemands, ils ont été développés en version 10 et 12 rangs pour emblaver les imposantes surfaces de maïs ensilage réclamées par les grosses unités de méthanisation. Ils existent également en version 6 rangs, pour les plus petites structures. Seule ombre au tableau, l'investissement dans un tel engin et la nécessité de le tirer avec un tracteur de plus de 150 ch limitent les possibilités d'utilisation par un éleveur. Dans la pratique, ils sont plutôt destinés aux entrepreneurs.

À LA CARTE

Quant aux semoirs de taille plus classique, la grande tendance du moment est la multiplication des options. La plupart des constructeurs proposent les mêmes solutions techniques : l'enterrage par doubles disques, les roulettes de rappui ou encore l'entraînement en continu par hydraulique ou moteur électrique.

L'écartement variable hydraulique est l'autre option en vogue. Lancée sur les semoirs MaterMacc en 1998, cette solution technique est maintenant proposée par la plupart des constructeurs. Elle permet de changer l'écartement des éléments pour passer d'une culture à l'autre sans démonter intégralement le semoir. En moyenne, dix minutes suffisent pour modifier l'écartement d'un semoir six rangs là où une demi-journée de travail est normalement nécessaire.

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