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Les articles du 02 mai 2022

Un premier navire de maïs ukrainien a quitté la Roumanie
Un premier navire chargé de maïs en provenance de l’Ukraine a quitté vendredi 29 avril 2022 le port roumain de Constanta, sur la mer Noire, marquant la reprise des exportations de céréales depuis le d (...)
Création de l’interprofession du carbone agricole
L’association « Climate agriculture alliance » fédère pour l’heure huit entreprises. Elle s’est donnée pour mission de « contribuer à un développement sain de la finance carbone », notamment en propos (...)
Le marché européen se tourne dorénavant vers les conditions de développement des cultures en place et l’avancée des semis de printemps. À Chicago, les prix des céréales sont également en retrait.

Le colza s’affaisse sur Euronext

Les cours de l’oléagineux sont en baisse en ce début de semaine sur le marché européen, marquant « un repli technique ». À l’inverse de l’huile de soja, la graine a peu évolué sur le marché américain.
Un bon début de saison pour la pousse de l’herbe
Au 20 avril 2022, la production cumulée des prairies permanentes est supérieure de 24 % à la pousse de référence calculée sur la période de 1989 à 2018, selon Agreste, le service de la statistique du (...)
« Nous avons conçu une remorque  pour distribuer les compléments »
Au Gaec de Nossoncourt, les associés ont conçu une machine capable d’apporter les céréales aplaties au troupeau, afin de s’affranchir de la corvée des seaux.

Du sang neuf dans le Gaec

« Avec du travail réparti entre quatre personnes, chacun peut prendre du temps personnel », se réjouissent les associés du Gaec de la Chapelle, Yves (absent sur la photo), Pascal, Axel et Franck Abraham (de gauche à droite). © D. Péronne
Axel Abraham, 27 ans, a intégré il y a un an le Gaec familial où les trois autres associés ont entre 50 et 56 ans. Il y a rapidement trouvé sa place et des responsabilités.
La hausse des prix de l’aliment et de l’énergie rogne les marges de la production de veaux de boucherie. © Jean-Michel Nossant
Les cours des veaux gras restent soutenus, mais la hausse du prix de revient grignote les marges.
« Nous devons être indemnisés pour le manque à gagner »
Dans le Finistère, l’élevage de Philippe Clec’h est situé en zone réglementée vis-à-vis de l’influenza aviaire hautement pathogène. Il est donc contraint à un vide sanitaire prolongé, pour lequel l’él (...)