L’approvisionnement des outils industriels est en grande partie assuré par les engraisseurs qui disposent de stock suffisant, mais qui ont coûté très cher à l’achat et nécessite une revalorisation des prix. C’est de cas notamment des charolaises négociées facilement entre 6,00 et 6,30 €. Pour les réformes laitières, les volumes en provenance des herbagers sont encore faibles. Cela permet de garder une forte dynamique commerciale, avec des vaches prim’holsteins négociées entre 5,50 et 5,70 €, en fonction des abattoirs. Les prix des normandes et montbéliardes viandées se situent entre 5,60 et 5,80 €.