Les blondes d’Aquitaine lourdes de qualité se négocient entre 4,80 et 5,30 €. Les limousines se valorisent, quant à elles, entre 4,60 et 4,90 €. Seules les parthenaises conservent une belle valorisation comprise entre 5,70 et 6,20 €. Les disponibilités limitées en charolaises permettent un commerce assez fluide pour la saison. Les bonnes femelles U se vendent entre 4,35 et 4,55 € et celles de conformation R affichent entre 4,10 et 4,30 € en fonction des abatteurs.
En réformes laitières, la revalorisation des cours se poursuit. Les vaches prim’holsteins P+/O− se vendent aux abattoirs entre 3,38 et 3,45 €. Les prix des femelles P=3 de plus de 320 kg se situent entre 3,25 et 3,35 €. À la même période l’an passé, les bonnes vaches prim’holsteins P+/O− se commercialisaient entre 2,75 et 2,82 € et les réformes P=3, entre 2,60 et 2,70 €.
En Allemagne, les cours des vaches O étaient tombés à 2,30 € en pleine crise covid et sont aujourd’hui 0,05 € plus élevés qu’en France.
La tendance haussière est également à l’ordre du jour dans les bonnes normandes et les montbéliardes. Ces dernières se valorisent entre 3,55 et 3,65 €. Les vaches ordinaires maigres se négocient entre 3,20 et 3,45 € en fonction du poids.
En jeunes bovins, la tendance reste positive. Les opérateurs suivent l’évolution des tarifs européens.