L’ambiance commerciale est morose. La demande en animaux haut de gamme s’essouffle et les tarifs évoluent peu. En réformes allaitantes, l’offre tend à progresser. Le recul des prix se poursuit depuis fin juin. Le nombre d’animaux légers ou en manque de finition s’accroît.
En réformes laitières, l’offre suffit à couvrir les besoins des abatteurs, dont l’activité est réduite. Les cours des bonnes vaches prim’holsteins, normandes et montbéliardes se tassent, et le tri est sévère.
En jeunes bovins, la tendance est à la progression des prix en Italie, mais seuls les animaux du pays en profitent. Les importations restent très concurrentielle et ne permettent pas de remontée des prix sur le marché intérieur français.