Les tarifs se tiennent dans les bonnes femelles de qualité bouchère. Ils plafonnent dans les bonnes charolaises et une tendance baissière se dessine dans les vaches R et l’ensemble des allaitantes d’entrée de gamme.
Réformes laitières : les industriels font pression sur les prix. Les baisses sont modestes, mais elles touchent surtout les animaux de moyenne conformation juste en finition (P2 ou P1).
Jeunes bovins : l’ambiance commerciale est morose. La seule gamme qui se maintient reste celle des jeunes bovins de moins d’un an de qualité, pour une clientèle export ciblée.