Les réformes laitières en note d’engraissement 1 et 2, en nombre important, restent malmenées. Elles se vendent entre 1,60 et 1,80 €. La pression des acheteurs remonte également du côté des vaches P=2 et P=3 légères : elles se valorisent entre 2,00 et 2,50 €. Les tarifs des bonnes prim’holsteins se tiennent encore entre 2,80 et 2,90 €.

 

Sur le marché de Cholet, les bonnes vaches blondes d’Aquitaine de plus de 500 kg de carcasse se vendent entre 4,40 et 5,00 €. Les prix des limousines de qualité bouchère se maintiennent entre 4,20 et 4,50 € tandis que les charolaises U s’affichent entre 4,00 et 4,20 €. Les charolaises R= se négocient en moyenne à 4,00 €, la fourchette de prix variant de 3,80 à 4,05 €.

 

S’agissant des allaitantes de choix secondaire, la croissance de l’offre dans les régions montagneuses permet aux industriels de couvrir leurs besoins. La sécheresse estivale conduit à des animaux moins lourds et juste finis. Cette gamme de marchandise (O et R–) ou âgée de plus de 10 ans se vend de 3,60 à 3,75 €. De nombreuses allaitantes d’entrée de gamme se négocient entre 3,20 et 3,60 €.