Les volumes présents sur les marchés sont restreints en raison d’une activité saisonnière marquée dans les champs.

 

En femelles, les abattoirs restent suffisamment couverts en direct.

 

Les tarifs se maintiennent difficilement sur les marchés. À Cholet, les prix des blondes d’Aquitaine U de plus de 500 kg ne se maintiennent que par une présentation modeste entre 4,40 € et 5,10 €/kg.

 

La situation est plus compliquée en charolaises, dont les prix se tassent entre 3,75 et 3,90 €/kg pour les animaux U. La gamme des vaches R perd encore quelques centimes entre 3,55 et 3,70 €/kg, avec une moyenne proche de 3,67 €/kg. Les sujets O restent pénalisés, avec des prix oscillant entre 3,10 et 3,45 €/kg.

 

En réformes laitières, les prim’holsteins P+/O– lourdes se vendent de 2,80 et 2,85 €/kg. Les vaches P3 lourdes (plus de 280 kg) se négocient entre 2,60 et 2,75 €/kg en fonction des abattoirs. La pression commerciale reste marquée sur les vaches légères en manque de finition. Les sujets P– légers sont commercialisés entre 1,80 et 2,30 €/kg, suivant le poids et l’abattoir.