Sur les marchés, les femelles de qualité bouchère et de haut de gamme restent demandées. Les tarifs se stabilisent en blondes d’Aquitaine et en limousines. Les parthenaises et les aubracs trouvent facilement preneur. Les vaches charolaises de conformation R se placent à des cours stables, compris entre 3,45 et 3,66 €/kg, avec une moyenne à 3,58 €/kg pour les animaux pesant entre 380 à 450 kg de carcasse. Les sujets U lourds et plus jeunes restent valorisés de 3,74 à 4,12 €/kg, voire 4,30 €/kg pour les limousines. Les blondes d’Aquitaine lourdes s’échangent de 4,40 à 5,00 €/kg, et les parthenaises entre 5,50 et 6,00 €/kg.
Du côté des réformes laitières, les tarifs se stabilisent à la veille des achats pour les vacances scolaires. Les prim’holsteins P+ ou O– se vendent de 2,48 à 2,55 €/kg, et les P= 3 entre 2,30 et 2,40 €/kg. Les normandes et les montbéliardes O= ou + se commercialisent de 2,90 à 3,05 €/kg.
Quant aux jeunes bovins, la semaine 50 est celle des approvisionnements du marché italien, mais la Grèce montre peu de besoins pour les fêtes de fin d’année. L’offre est un peu plus étoffée et suffisante à couvrir les besoins. Les tarifs sont reconduits sur le marché de Cholet. Les charolais U= se négocient autour de 3,80 €/kg. Les blonds d’Aquitaine E de moins d’un an trouvent preneur entre 4,12 et 4,50 €/kg, mais le commerce est plus calme en sujets lourds.