Sur les marchés, les transactions sont calmes, avec une demande réservée en viandes de haut de gamme ou de label de la part des boucheries traditionnelles. Les tarifs se maintiennent en femelles parthenaises, limousines ou charolaises de qualité bouchère.
En revanche, la vente est fluide et les cours fermes en charolaises ou limousines viandées, ainsi qu’en allaitantes R pesant plus de 380 kg. Du côté des animaux R– et O– légers ou âgés, la demande reste sélective, mais les tarifs se stabilisent.
Les bonnes vaches charolaises U s’échangent entre 3,85 et 4,12 €/kg à Saint-Christophe-en-Brionnais. Les R restent commercialisées entre 3,35 et 3,75 €/kg.
Du côté de la distribution, la mise en place du cœur de gamme est lente. Les linéaires restent majoritairement approvisionnés en viande étoilée de race laitière, voire de jeunes bovins.