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Les producteurs de l’Hexagone devraient-ils s’en attrister ? Pas si sûr. En juin, note le ministère, « les cours sont supérieurs de 8 % à la moyenne allant de 2014 à 2018 ». Seul avantage de la canicule : les Français sont avides de fruits frais, et la demande se maintient donc au-dessus de l’offre.