La dynamique commerciale engendrée par le déficit de marchandise se poursuit. Les abatteurs ne peuvent compenser le manque de marchandise par de l’importation (peu disponible). Les niveaux de prix sont élevés sur l’ensemble des marchés faute de disponibilité. Ils retrouvent le niveau de l’an passé. Les premiers laitons font leur apparition et se valorisent entre 4,70 et 4,90 €/kg vif. Les agneaux U de 38 à 44 kg se sont valorisés entre 4,00 et 4,50 €/kg vif à Parthenay, Moulins-Engilbert, Réquista ou Sancoins.
En brebis, les disponibilités sont également insuffisantes pour la demande, ce qui entraîne une vente fluide et des prix fermes pour les bonnes brebis. Celles de plus de 60 kg sont valorisées sur les marchés entre 1,50 à 1,80 €/kg vif. Les ordinaires se négocient entre 1,00 et 1,40 €/kg vif.