Il y a un an, le plafond des 5 euros par kilo était largement dépassé dans les charolaises. Aujourd’hui, les tarifs de ces bonnes femelles ne sont pas impactés par une tension sur les prix, mais ce sont les volumes qui se tassent... en même temps que la production.
Du côté des réformes laitières, la tension se poursuit sur un marché où le déficit de l’offre est accentué par les travaux saisonniers et la pousse de l’herbe. Les vaches prim’holsteins convenables perdent encore quelques centimes et se négocient entre 4,55 et 4,65 €, selon les abattoirs. Les normandes et montbéliardes viandées se vendent entre 4,75 et 4,85 €.