Jeudi 1er septembre 2022, sur Euronext, la tonne de blé clôturait à 328,75 euros (–3,50 euros par rapport à la clôture de la veille) sur l’échéance de septembre et à 321,50 euros (–3 euros) sur l’échéance de décembre.

 

La tonne de maïs clôturait, quant à elle, à 318 euros (–2 euros) sur l’échéance de novembre et à 318,25 euros (–2 euros) sur l’échéance de mars.

 

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Ce vendredi 2 septembre, vers 12 h sur Euronext, la tonne de blé perdait 3,25 euros (à 325,50 euros) sur l’échéance de septembre et 75 centimes (à 320,75 euros) sur l’échéance de novembre.

 

La tonne de maïs gagnait 25 centimes (à 318,25 euros) sur l’échéance de novembre et soixante-quinze centimes (à 319 euros) sur l’échéance de mars.

 

« Les cours ont connu une nouvelle détente hier, toujours influencés par la situation macro-économique, l’environnement géopolitique et l’évolution de la situation en mer Noire », signalait ce matin le cabinet Agritel.

 

« Les nouvelles ventes réalisées par la Russie à destination de l’Égypte confirment le retour de cette origine et l’accélération de l’activité à l’exportation dans les prochaines semaines. La récolte russe s’annonce est effet importante, libérant ainsi des volumes vers le débouché de l’exportation. Le rythme des exportations au départ de l’Ukraine est lui aussi également à suivre avec une volonté d’accélérer les chargements à l’approche de l’arrivée de la récolte de maïs », ajoute-t-il.

 

Selon le cabinet Sitagri, l’Ukraine devrait semer 30 % de blé en moins qu’en 2022.

 

Aux États-Unis, le démarrage précoce annoncé des récoltes de maïs favorisera ainsi le retour des disponibilités. « Attendus en repli, les rendements seront surveillés avec le plus grand intérêt », souligne Agritel.