Le vendredi 3 décembre 2021, le blé avait terminé la séance en net repli, notamment après des informations de l’agence russe Interfax sur le quota à l’exportation que Moscou envisage de mettre en place au début de 2022, rapporte le cabinet Agritel. Ce quota s’élèverait à neuf millions de tonnes pour le blé, un total « supérieur aux anticipations du marché », ajoute Agritel.

 

Star du deuxième semestre sur les marchés agricoles, le cours du blé a été porté jusque-là par une forte demande, une météo défavorable en Australie ainsi que la perspective de quotas et de taxes sur les exportations russes.

 

Vers 16h30 sur Euronext, le prix du blé tendre reculait de 2,25 euros, à 280,75 euros la tonne, sur l’échéance de décembre et de 50 centimes sur celle de mars, à 289,50 euros la tonne.

 

Le maïs perdait 1,00 euro, à 244 euros la tonne, sur l’échéance de janvier et 0,75 euro, à 242,50 euros la tonne, sur celle de mars.