Aides couplées végétales : Pour mieux consommer les enveloppes

Le ministère de l’Agriculture précise les conditions d’éligibilité aux 15 aides couplées végétales. Peu de changements par rapport à 2016, mis à part la fongibilité des enveloppes pour les cinq cultures riches en protéines, ce qui permet d’optimiser la consommation des budgets. L’enveloppe globale des aides couplées baisse de 1 % par rapport à 2016.

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Publié le 30/03/2017, Mis à jour le 25/08/2022

mises en œuvre depuis la campagne de 2015. Retrouvez tous les détails dans l’instruction pour les 15 aides suivantes :

L’aide à la production de légumineuses fourragères,
L’aide à la production de soja,
L’aide à la production de protéagineux,
L’aide à la production de légumineuses fourragères destinées à la déshydratation,
L’aide à la production de semences de légumineuses fourragères,
L’aide à la production de blé dur,
L’aide à la production de prunes destinées à la transformation,
L’aide à la production de pêches destinées à la transformation,
L’aide à la production de poires destinées à la transformation,
L’aide à la production de cerises destinées à la transformation,
L’aide à la production de tomates destinées à la transformation,
L’aide à la production de pommes de terre féculières,
L’aide à la production de chanvre,
L’aide à la production de houblon,
L’aide à la production de semences de graminées.

Les cinq premières aides sont dites « aides aux cultures riches en protéines ». Les enveloppes budgétaires des cinq aides destinées à soutenir la production de plantes riches en protéines sont fongibles dans les limites prévues par la réglementation communautaire.