En agneaux, le recul de l’offre engendré par les moissons permet une certaine stabilisation des prix, notamment s’agissant des bons sujets. Le commerce reste très calme, et les fortes températures ont un effet négatif sur la consommation de viande d’agneau.
En brebis, les besoins sont assez soutenus pour approvisionner le sud de la France et l’Italie, en particulier pour les bons sujets lourds. Pour les animaux de moindre qualité, le commerce demeure compliqué.