La demande italienne reste peu soutenue pour les sujets lourds en prévision des sorties de juin, où la consommation de viande est moins dynamique. Pour les broutards plus légers, la demande intérieure semble prendre le relais. Les tarifs des bons charolais de 300 à 380 kg reprennent quelques centimes. En revanche, l’offre suffisante dans les limousins ou les blonds d’Aquitaine entraîne un commerce compliqué. La tendance reste baissière dans les femelles.

En bovins d’embouche et d’élevage, seul le bétail préparé et proche de la finition reste demandé auprès des engraisseurs spécialisés. Les tarifs sont plus discutés dans le bétail plus commun à hiverner.